Sous le tapis dort la poussière
: l'ignorance et la peur s'affronte
Dans le combat bien singulier où
le soldats sont camouflés,
Où l'arrogance de l'être
fier le rend tout content de sa honte
Quand dans un mépris régulier
son hypocrisie vient souffler.
Le riche ne trouvera sa part au Jour du
Succès de l'Epargne
Des misérables et malheureuses
qui n'aspiraient qu'à la vraie vie ;
Appliqué, seul se prépare
le cœur bon qui défie la hargne
Quand sur des fables fort haineuses,
l'impie s'exprime et défie,
Jusqu'à se trouver dans le fond
par les mensonges qu'il se raconte,
Jusqu'à croire que lui seul est
bon, que pour le bien il a tout fait,
Alors que ses actions criblées,
ne laissent rien au Jour des Comptes,
Et que l'Enfer seul veut de lui, et que
là il va étouffer.
On aurait tort de croire alors à
l'arbre qui cache la forêt,
Qu'les mauvaises herbes des sous-bois
ont disparu durant l'été,
Que nous éloigne de la mort tout
propos noble et coloré ;
Mais la droiture n'a qu'une voie,
pourtant sied la diversité.
Mais corrompt son âme par un vin,
celui qui là se fait plier ;
Quand la lumière s'est éteinte,
qu'est-ce qui pourrait illuminer ?
Et quand par la famine étreinte,
mieux vaut racine ruminer...
Ou bien manger des pommes de pin, les
glands sont pour les sangliers !
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