Lorsque l'islam est pris pour cible par
l'arc de la mécréance...
Combien d'âmes sont prisonnières
du déni de reconnaissance ?
Le drame de l'être risible fait
la joie du pieu dans l'aisance ;
Quand l'attribution plénière
fixe l'ultime lieu de séance
Où l'on vivra l'éternité,
Où l'on subira ce qui fut
mérité,
Où le châtiment couvrira
la témérité
De celui qui couvrait de propos
blessants et d'injures,
Qui refusait la vérité,
Qui s'enflait d'orgueil et de parjures,
Et n'entendait pas s'arrêter...
Lorsque l'islam est pris pour cible,
comment pourrait-il se percer ?
Notre bonheur est extensible, et seul
la foi peut nous bercer,
Et les bonnes œuvres ostensibles que
l'on s'efforce d'exercer.
Le chasseur ne blesse que lui-même,
et à son tour sera la proie
De ses iniquités suprêmes,
dans un four connaitra l'effroi ;
Et toutes les fois qu'il niait et
rejetait la vérité
Reviendront alourdir son sort,
l'enfoncer dans l'adversité,
Ce qu'il ne voyait comme des torts mais
avançaient sa damnation.
Et viendra encore et encore la
condamnation qui perdure,
Où aura beau souhaiter la mort
celui qui subit les morsures
Des pires sévices de l'enfer et
la damnation qu'il endure
Avec regret et désespoir.
Désirant l'œuvre salutaire
qu'il n'avait pas voulu à temps.
Jalousant les élus de Dieu
accoudés sur des verts divans.
Mais le repos et le bonheur, il ne
pourra jamais avoir.
Aussi, en ces temps fort moroses, en
ces temps de larmes, de crises,
En ces périodes où le
mensonge du plus bel habit se déguise,
Pourquoi donc rejeter la cause de la
situation promise ?
Bien sûr chacun alors propose ce
qu'il entend faire de la France ;
Mais le Très-Haut Seul compose
et Lui Seul juge pour l'offense.
Pourquoi s'inquiéter pour des
choses sur lesquelles nous n'avons de prise ?
A celui qui veut la vraie vie, il
suffit une belle patience ;
Dans de beaux jardins luxuriants, il
aura l'ultime résidence.
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