Nos grands-parents sont morts, le
peuple a oublié.
Le temps ne revient pas, coule le
sablier.
Puissants, riches du monde, ne veulent
se plier
Devant le seul Souverain qu'il convient
bien de supplier,
Ni à un partage quelconque ; les
verrais-tu les jougs délier ?
Au contraire, à leurs intérêts
veulent-ils vous faire plier ;
Et quant alors sous leur contrôle, à
dessein vous manipuler.
On peut bien oublier ses peines... mais
son estomac dans les mains ?
Et tant de maisons qui détruites...
aux pierres au bord du chemin.
Par les amants de l'éphémère...
poussés à l'exil sans le cri ;
Qu'à vouloir sublimer cette vie... ils
en ont oubliés demain !
Qui ne coupe les racines du mal en
produit certainement les fruits,
Les vendant à ceux qui ne peuvent du
bon et pur payer le prix.
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