Ce monde est en déliquescence !
Ô étranger, par ta
présence
Tu nous fais nous sentir heureux ;
Car quand tu laisses présager
Que nous aurons la délivrance,
Que boiront du bassin les pieux,
Ceux qui comblés d'espérance
Te contempleront dans le Feu,
Et se réjouiront de voir le Très
Grand Miséricordieux.
Je me souviens quand autrefois j'étais
perdu et égaré,
Quand ma poitrine était vide,
quand mon âme dans les rues errait,
Quand j'étais mort et sans
conscience, quand les ténèbres je serrais
Quand tout mon cœur était
inerte, quand je n'avais paix sur les lèvres.
Tout homme est voué à sa
perte, sauf celui parmi nous qui croit,
Qui s'applique à des bonnes
actions avec l'intention de sa foi,
Ceux qui s'émulent dans le vrai,
qui s'encouragent à la patience ;
N'est pas égal celui qui sait et
celui privé de science.
N'est pas sauvé celui qui veut,
mais intègre l'étendue verte
Celui qui agréé par Dieu,
reçu, admis, pardonné, certes ;
Qu'il soit en retard ou à
l'heure.
Toute voie peut conduire au désastre
; sauf l'islam, qui mène au bonheur.
L'honneur comporte.
Vers la vie éternelle t'emporte.
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