Et la nature
de l’Homme, et la nature humaine…
S’avérant
pourtant faible, si noble et si fragile ;
Ah, comme
elle se présente ! Ah, quelle bonne aubaine !
Car si
élégante, car en fait si agile.
Et combien
donc de terres, d’étendues vertes et d’îles,
Encore
dépourvues, pas garnies, d’âmes saines ?
Et combien
de déserts, zones arides ou villes,
Orientées
vers des œuvres inutiles ou vaines ?
Vivant dans
le chaos, le désordre facile,
Entouré d’injustice,
de douleurs et de peines,
Je sais la
solution, le meilleur ustensile,
Qui vers
joie et bonheur nous convie, nous emmène.
Que veut de
Dieu la paix, la récompense pleine,
Qu’il
emprunte au Prophète les pensées de son
style ;
Que son âme
il éduque, qu’à son cœur il apprenne :
« L’autre
passe avant soi », j’aimerais qu’on en convienne.
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