Il y a des soirs : la poésie est dure.
Parfois elle coule à flots et traverse les murs,
Les vagues vous emportent vers des contrées nouvelles ;
Mais parfois elle résiste aux coups de manivelle.
Il y a de longs matins, la poésie y vibre,
Et l’inspiration plane et atteint l’équilibre ;
Tu pourrais tant écrire, mais bon, le temps t’emporte :
Tu gardes le meilleur et l’on tape à ta porte…
Parfois elle coule à flots et traverse les murs,
Les vagues vous emportent vers des contrées nouvelles ;
Mais parfois elle résiste aux coups de manivelle.
Il y a de longs matins, la poésie y vibre,
Et l’inspiration plane et atteint l’équilibre ;
Tu pourrais tant écrire, mais bon, le temps t’emporte :
Tu gardes le meilleur et l’on tape à ta porte…
Il y a aussi ces nuits où la rime t’obsède :
Tu tires la couverture, jette l’oreiller, cède ;
Puis tu réveilles l’encre et les papiers s’imprègnent,
Et tu ne te recouches que lorsqu’ils te conviennent.
Le meilleur est toujours quand l’Amour te conduit…
Avec lui, avec elle, tu partages et produits ;
La belle compagnie est ce terreau fertile :
Avec et pour les autres, tes mots seront utiles.
Pour établir la paix, affermir le fragile,
Enrichir le pauvre, rendre l’humain agile,
Et lui ouvrir le cœur, y planter la semence ;
Si alors elle ne pousse, patiente, recommence.
Tu tires la couverture, jette l’oreiller, cède ;
Puis tu réveilles l’encre et les papiers s’imprègnent,
Et tu ne te recouches que lorsqu’ils te conviennent.
Le meilleur est toujours quand l’Amour te conduit…
Avec lui, avec elle, tu partages et produits ;
La belle compagnie est ce terreau fertile :
Avec et pour les autres, tes mots seront utiles.
Pour établir la paix, affermir le fragile,
Enrichir le pauvre, rendre l’humain agile,
Et lui ouvrir le cœur, y planter la semence ;
Si alors elle ne pousse, patiente, recommence.
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