Pour celui sans espoir, le temps n’est
que brouillard.
Bien trop tard pour croire, la
liberté d’hier
S’efface à la mort et dans son trou
de pierres
Regrets se font immenses,
éclaireraient prières ;
Et dans l’obscurité, le deuil du
corbillard,
Tinté du bruit des pas des héritiers
pilleurs,
Ne laisse en terre que l’œuvre et l’interrogatoire :
Malheur à l’âme humaine qui s’avance
trop fière !
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