Tout un chacun nait sans culture, mais
ignorant n'est pas stérile ;
Bonifie ses récoltes futures,
qui laboure contre son péril.
Le savant excelle en mérites
comme le bon diffère du vil,
Aspirant à la vérité,
et être des anges entourés.
Est donc coupable envers lui-même
qui se néglige quand il pourrait ;
Ayant les moyens mais la peine n'est
guère conforme à l'attente...
Qui dit à la science qu'il
l'aime et fait l'effort pour l'acquérir,
Pour enseigner ou étudier, sors
pour son cœur, les leurs, guérir,
Toute sa voie enfin dédiée,
quand autrefois il se mourrait.
Que son âme est enfin ravie, qu'à
voir son Seigneur elle patiente.
Aux jardins : comblées les
envies, car l'épargnant trouve sa rente.
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