La première prescription de Dieu
fut pour nous notre éducation.
Du plus haut de Ses sept cieux, Il
commande à Sa création.
Ne vois-tu pas, ô être
humain, qu'Il est le Sage des nations ;
Que sont ouvertes Ses deux mains et
qu'Il nous donne à profusion ?
Comment expliquer que chez nous nous
négligions la directive,
Que la science a des chainons qui nous
manquent pour que l'on vive
Une vie libre, épanouie,
côtoyant la béatitude ?
Dans la prière se réjouit
et se distrait l'homme d'étude.
Ne laissons pas nos descendances se
pervertir dans l'ignorance.
S'il est bon se divertir, l'excès
– en tout – crée la souffrance ;
Aussi soyons précautionneux pour
goûter des fruits les préludes,
Plutôt que par notre insouciance
nous entrions au séjour rude.
La jeunesse, excès de confiance,
ne réponds que peu aux attentes ;
Celui qui sait, à l'expérience,
n'est comparable à l'immature,
Mais s'élève uniquement
la conscience de l'homme de bien, pieu, arrosé.
Faut-il donc que leur déviance
nous pousses tous dans le fossé ?
O Seigneur, Maitre de l'Alliance,
détruis tout les coalisés !
Pardonne à qui a cru en Toi, et
qui ne T'a rien associé !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire