Mes frères, mes sœurs, soyez
contents !
Les faveurs de notre Seigneur sur nous
ne peuvent être comptés.
Nous sommes sommés de regarder
plus bas que nous quoi qu'il arrive,
Pour ne pas mépriser le bien
versé sur nous, qu'il ne tarisse,
Que nous puissions en profiter.
N'a pas d'aptitude à la joie qui
à la peine n'a pas contact.
Mes frères, mes sœurs, soyez
contents !
Les faveurs de notre Seigneur sur nous
ne peuvent être comptés.
Le malheur peut être dompté,
Et le bonheur vient en son temps ;
Qui le recherche pour ceux qu'il aime
trouve une preuve à son engagement.
Qui l'œuvre pie sème avec zèle
trouvera ce jour dix fois autant,
Le jour où, mes frères,
mes sœurs, chaque élu sera fort content.
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