Dehors la
société s’écroule ;
Et sur le
sol, le sang coule.
Combien de
yeux, mains arrachés ?
Et même,
combien de cœurs fâchés ?
Le long des
routes ayant quitté
L’injustice
et l’iniquité ;
En gare de
la misère sociale
N’aboutissent
qu’à l’hiver glacial.
Un étudiant
s’est immolé
Par le feu.
Ils sont désolés.
Qu’éclabousse
la précarité !
La bourse ou
la réalité ?
Ronds-points,
grève… pour se défouler ?
Les despotes
sont affolés.
Les pauvres
ils ont déjà pillés ;
Voudraient
plus : être suppliés !
Le temps s’écoule,
l’épargne vide,
Pauvres
vieux au regard livide ;
Usagers sués
jusqu’à l’os,
Demain morts
et mis à la fosse.
Créant la
pénurie, le manque ;
Qu’eux :
coffres pleins et comptes en banques,
Vivant de
festins et d’orgies,
T’empoisonnent
ou vont t’égorger.
Vivre
ensemble ? La digue a cédé ;
Croire en l’espoir,
être obsédé ?!
Tandis qu’à
coup de peurs, de haines,
La masse d’ignorants
se freine.
Témoin
silencieux de l’époque ;
Rimes
descriptives que l’autre moque.
Pourrait
décrire le succès :
Vivre
simplement sans excès.
Témoin de
tant de tragédies ;
Tu ennuies,
on te congédie.
Méprisés d’eux,
sans nul procès ;
Heureux qui
gardent à Dieu l’accès.
Vanité éphémère
après laquelle tous courent :
Vivre près
du roi et sa cour.
Persévérants,
croquant l’écorce,
Au
cheminement spirituel, nuit et jour, le croyant s’efforce.
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