Avant de construire sa mosquée, le Prophète a construit les cœurs
Qui sauraient donner juste image des merveilles de la religion, en affirmant par leurs actions comme est vraie la fraternité,
Qui seraient, avec grand courage, piliers de la communauté,
Qui sauraient exposer au monde l'abnégation pour le Seigneur,
Et l'effort se poursuit sans cesse quand on recherche le bonheur,
les merveilles de Sa Royauté.
Quand Mohamed (SBDL) leur fût ôté,
Les gens ensuite remplirent leur ventre,
Alors les cœurs vite s'endurcirent, la société s'est corrompue.
Regarde ce soir autour de toi, et dis-moi qui n'est pas repus.
Ne soyons pas comme ceux qui ont le ventre plein et l'esprit vide
Qui sont tournés vers ce bas-monde et en sont devenus avides.
Regarde donc les nouvelles du monde et de nos frères assassinés.
En Syrie, Iraq, Palestine, dans d'horribles guerres, décimés ;
Et expulsés de leurs maisons, et exilés de leurs patries.
Leur subsistance dans notre monde n'est désormais guère plus qu'infime.
L'écart entre la tienne, la leur, comme entre valide et infirme.
Ta foi n'a guère plus de racine ;
Et dans ton orgueil ignorant, tu te crois élevé dans les cimes.
Voudrais-tu partager la joie, les bénéfices dans l'aisance ;
Et quand ton frère est dans la peine, t'écarter avec indécence ?
Ne sais-tu pas que tu seras jugé après cette existence ?
Or, le malade et l'orphelin, tu prives de toute reconnaissance.
Ne sais-tu pas que tu étais faible et frêle à ta naissance,
Que le Seigneur accrut ta force et a affirmé ta présence ?
En agissant comme tu agis, penses-tu là faire preuve de bon sens ?
Craignez votre Seigneur l'Immense
Qui vous jugera par la Balance.
Qui sauraient donner juste image des merveilles de la religion, en affirmant par leurs actions comme est vraie la fraternité,
Qui seraient, avec grand courage, piliers de la communauté,
Qui sauraient exposer au monde l'abnégation pour le Seigneur,
Et l'effort se poursuit sans cesse quand on recherche le bonheur,
les merveilles de Sa Royauté.
Quand Mohamed (SBDL) leur fût ôté,
Les gens ensuite remplirent leur ventre,
Alors les cœurs vite s'endurcirent, la société s'est corrompue.
Regarde ce soir autour de toi, et dis-moi qui n'est pas repus.
Ne soyons pas comme ceux qui ont le ventre plein et l'esprit vide
Qui sont tournés vers ce bas-monde et en sont devenus avides.
Regarde donc les nouvelles du monde et de nos frères assassinés.
En Syrie, Iraq, Palestine, dans d'horribles guerres, décimés ;
Et expulsés de leurs maisons, et exilés de leurs patries.
Leur subsistance dans notre monde n'est désormais guère plus qu'infime.
L'écart entre la tienne, la leur, comme entre valide et infirme.
Ta foi n'a guère plus de racine ;
Et dans ton orgueil ignorant, tu te crois élevé dans les cimes.
Voudrais-tu partager la joie, les bénéfices dans l'aisance ;
Et quand ton frère est dans la peine, t'écarter avec indécence ?
Ne sais-tu pas que tu seras jugé après cette existence ?
Or, le malade et l'orphelin, tu prives de toute reconnaissance.
Ne sais-tu pas que tu étais faible et frêle à ta naissance,
Que le Seigneur accrut ta force et a affirmé ta présence ?
En agissant comme tu agis, penses-tu là faire preuve de bon sens ?
Craignez votre Seigneur l'Immense
Qui vous jugera par la Balance.
Et vous donnera le châtiment éternel ou la délivrance.
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