Ô puissant, ma vue, mon ouïe,
et mon cœur,
Ne sais-tu pas qu'à mon bonheur,
Que mon Seigneur en permanence,
Certes y pourvoit sans nulle carence ?
Ne m'a-t-il pas donné les moyens
de Le louer, Le remercier
Pour les multiples bienfaits dont il me
faut savoir jouir, qu'il me faut savoir apprécier ?
Ô brigand, ce qui me rend chaque
jour heureux
C'est d'être bien reconnaissant
envers le Miséricordieux
Par les bonnes actions que je fais, et
les mauvaises dont je m'abstiens,
Par mon effort sur Sa voie qui dans
l'islam me maintient.
Autrefois, j'étais triste et
frêle, le cœur mort, l'âme à l'agonie ;
Désormais nuit et jour j'espère
goûter au doux pardon promis.
Pourquoi alors, ô malheureux,
persistes-tu dans le déni ?
Pour autant que tu as acquis, tu as la
vérité omis.
Et négliges-tu le droit de Dieu
? Et celui des nécessiteux ?
Pourquoi te montres-tu hautain ? Et
orgueilleux ? Et vaniteux ?
Maudit sois-tu, ô mécréant
! Quant à celui qui aura cru en ayant accompli les rites
Dans la piété bien
manifeste, il entrera dans les jardins pour l'éternité
qu'il mérite.
Si tu savais comme Il pardonne, tu ne
désespérerais pas. Et tu te repentirais vite.
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