Dans la saine nature est né
ci-bas tout homme,
Dans l'instinct noble et pur poussant
aux actions bonnes,
A sortir des mauvaises, à
quitter les anciennes
Croyances menant aux braises du Feu de
la Géhenne.
Ainsi le nourrisson est plus pur que la
neige ;
Et l'espoir, la mission du Prophète
allège
L'univers égaré qui s'est
éteint et a dévié
Car il n'a pas gardé, étreint,
ce à quoi il était convié.
Que la poitrine se serre, que le cœur
se comprime,
Que cesse la lumière, que la
peur prédomine,
Que l'espoir revienne comme surgit
l'aurore,
Et que l'homme devienne plus raffiné
que l'or.
Le plus précieux métal
n'est rien face à la foi ;
Rien de cela n'égale
l'expression de Sa Loi.
Il n'y a de meilleure joie que d'être
élu par Dieu
Pour figurer parmi Ses musulmans pieux.
Le fruit trouve son goût, dévoile
ses senteurs ;
L'être s'ouvre au bonheur.
L'air se respire alors à sa
juste valeur ;
La fleur exalte encore ses luxueuses
couleurs.
Chaque jour garni d'une reconnaissance
;
Et parmi les trésors : la fin de
l'Ignorance.
La vie trouve son sens,
Les questions leurs réponses,
Les réponses ruissellent des
mers des connaissances.
Le bonheur vient du Ciel, la Terre
livre l'aisance.
La parole devient miel, sans plus de
médisance.
Les aumônes s'amoncellent
vient-là la délivrance.
Prime la Miséricorde sur la
sévérité ;
Le Généreux accorde aux
nombreux héritiers
Leurs parts de Ses jardins qu'ils n'ont
pas mérité,
Dont ils jouiront bien de toute
éternité.
Il est le Sage et Clément ; quel
bienfait de votre Seigneur voulez-vous, ô Hommes, éviter
?
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