Nous laissons l’oppresseur les tuer en silence,
Le ventre plein de peine et l’oreiller douillet ;
Coupables de se taire et d’autres connivences,
Le cœur éteint, rouillé, à force d’être souillé.
Nous manquons de courage et de priorité,
Les poches pleines de pièces de la Banque du monde ;
Nous croyons qu’il n’est sage de dire la vérité,
Et nous contons nous-mêmes des illusions immondes.
Tandis que ton frère meurt sous les talons d’airain,
Tu cherches le loisir et d’autres distractions ;
Le funeste système de l’occupant étreint
Les enfants mis aux geôles tels parcs d’attractions.
Le ventre plein de peine et l’oreiller douillet ;
Coupables de se taire et d’autres connivences,
Le cœur éteint, rouillé, à force d’être souillé.
Nous manquons de courage et de priorité,
Les poches pleines de pièces de la Banque du monde ;
Nous croyons qu’il n’est sage de dire la vérité,
Et nous contons nous-mêmes des illusions immondes.
Tandis que ton frère meurt sous les talons d’airain,
Tu cherches le loisir et d’autres distractions ;
Le funeste système de l’occupant étreint
Les enfants mis aux geôles tels parcs d’attractions.
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