Ton
Seigneur est tout près et pourtant Il te manque :
Ton cœur
est un désert, en cela tu es puni ;
Ton argent
pour les pauvres ? ou plutôt pour les banques,
Qui pillent
les richesses des faibles et démunis !
Ton
Seigneur plus près que ta veine jugulaire ;
Au tiers
fin de la nuit, Il descend et s’approche,
Il répond
qui L’invoque, lumière sur lumière.
Heureux
l’adorateur qui au pardon s’accroche.
Au travers
de la foule voici mon bien-aimé (SBDL) !
Que le
Seigneur t’accorde noble place et trophée !
Du désir de
te joindre mon cœur est animé ;
Dans la
prière pour toi, je trouve mon profit.
Ton
Seigneur si près, et encore tu espères :
Ton cœur
est un dessert, fondant d’amour pour Lui ;
Ton trésor
superflu, investi qu’il prospère.
Persiste,
tu trouveras, un jour, ce qu’il produit.
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