Au centre du
salon la télé grand écran :
Pour le
spirituel ? Plutôt pour l’égarement ?
Veiller sur
les enfants ? Soulager les parents ?
Transmettre
la parole, de quoi ils sont garants ?
Du temps de
nos aïeux, il y avait le foyer ;
Dans les
jeux inutiles, nos enfants sont noyés.
Alors font
des vœux vils par manque d’être choyés,
Et vers l’amour
futile leur âme est déployée.
Du cœur de
la maison, la mère est à l’écart –
Par peur de
sa prison où elle n’a nul égard –.
L’horloge de
tes valeurs tictaque ton retard,
Ton
témoignage faussé par l’acte et le regard.
Pour que les
canapés autour des bibliothèques
Bâtissent
nos futurs sans nulle hypothèque ;
A recherche
le vrai qu’on résolve l’enquête :
Anoblit par
le Grand, quand le Diable d’autres endette.
Et que la
Prophétie ne soit pas juste un conte
Que l’on
cite et oublie à en trouver la honte ;
Epreuves et
facéties, par le savoir affronte !
Par Dieu que
tu supplies, cette vie tu surmontes.
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