Cyclones et tremblements dévastent
les baraques,
Les policiers injustes te heurtent à
la matraque ;
Tu vois les oppresseurs piller ton
compte en banque,
Et la vie dure, austère, succède aux
temps du manque.
Les palais décorés sont remplis de
macaques ;
Tu vois dans l’opulence les cœurs les
plus opaques
Qui s’agitent, s’assemblent pour de
folles harangues.
Tu vois les biens guidés vers Dieu
avec leurs langues
L’évoquer, le chercher, lui dresser
des louanges ;
Peut-il y avoir des pieux abandonnés
des anges ?
Le Seigneur nous éprouve que selon
Son Amour ;
Et Sa Miséricorde n’emplit que les cœurs
purs.
Aussi, n’obtient chacun que selon son
effort ;
Et tu devrais mieux vivre avant là d’être
mort.
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