Tu trouves chez Les femmes ce qu’il
faut pour préserver la parenté, en commençant par l’héritage,
L’injonction de prendre soin d’elles,
ne les prenant pas en otage.
Elles se sacrifient pour nos biens,
pour nos maisons et nos enfants : n’allons-nous pas leur rendre hommage ?
De Dieu cherchant notre secours et à
contempler Son Visage.
Cherchant chez le Noble Envoyé (SBDL)
l’application de ce message,
Car si le Livre cite la règle, tout n’est
pas contenu dans ses pages ;
Aussi nos pieux prédécesseurs ont-ils
couru les paysages
Pour aller chercher la science chez
ceux plus savants ou plus sages.
Qui veut sa subsistance accrue, qui
veut la lumière dans ses yeux ;
Les liens de parenté s’expriment,
sont attachés au Trône de Dieu :
« Ceux qui nous maintiennent,
Dieu alors : maintient au plus fort avec eux. »
Celui qui les rompt n’entrera pas au
Paradis mais au Feu.
Ce n’est pas qui rend la pareille
mais qui maintient les liens rompus.
Comment peut-il avoir un cœur celui
qui dort tout le temps repus ?
L’agrément de Dieu est fixé dans l’appréciation
des parents ; qui désobéis, les insulte, et face aux voisins les conspue,
Sa foi, sa piété sont minables, et c’est
Dieu Seul qui rétribue.
Tant qu’il ne veut pour son voisin ce
qu’il a voulu pour lui-même, l’adorateur n’est pas complet ;
Or, les liens sociaux préservés sont
le fondement de la paix même.
Voudrais-tu gagner ton prochain qui
te hait qu’alors toi tu l’aimes ?
De Dieu trouver satisfaction, que tu
lui pardonnes, qu’il revienne…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire