Sécheresse frappe la terre qu'encore
elle se croit verte ;
L'été déjà se perd et le vent donc
emporte
Comme des feuilles d'automne massées
devant la porte,
Puis l'hiver balaie tout, frêle
chaleur n'en sorte
Qui n'a pas fagoté, eu l'exigence
forte.
Nous avons la monture pour le temps du
voyage ;
Or, celui qui s'applique avec le bon
bagage
Se bonifie d'autant tandis qu'il prend
de l'âge.
Tandis que gaspillage... ne mène qu'à
la perte ;
As-tu donc moissonné ou songé dans
l'ombrage ?
Pour traverser le pont, il faut bien du
courage.
Seigneur, envoie-nous donc des Hommes
puissants et sages
Pour œuvrer dans Ta voie et livrer tes
louanges.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire