Le jour de ta mort survenant, mon cœur
s'est arrêté de battre ;
Quand dans ton transport vers la tombe,
tu t'en retournes à notre Maître
Pour qu'Il juge de ton résultat :
tu as correctement fait paître
Les brebis vivant sous ton toit.
Quelle élégie pourrait alors nous
retranscrire par ses lettres
Ta noblesse et ton caractère, depuis
que la Terre t'a vu naître
Ton comportement merveilleux et
grandissime envers l'autre.
Que reste-t-il quand tu t'en vas, et
quel est donc ton héritage
Quand ton ombre subit le vent et que ne
trouvent l’ermitage
Les bergers marchant sur tes pas.
Quand tes traces persistent au temps,
Dans les œuvres des derniers savants
Qui te côtoient dans leurs hommages.
Pourras-tu croire que, moi, je
t'aime... tant je te cause de dommage ?
Quel chemin faisons-nous ensemble...
dans l'effort, la paix, le partage ?
J'ai avec moi mes intentions qui pèsent
lourd dans la balance,
Loin des murmures du satan qui
cheminent dans les pensées
Voulant freiner nos avancées jusqu'à
ce que vienne la sentence.
Le jour de ta mort venant, ton cœur
s'est arrêté d’émettre ;
Pourtant tu demeures l'excellence et
ton modèle peut nous permettre
La joie, l'honneur, la délivrance.
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