La pluie venant du ciel nous nettoie
des péchés.
S'enfuit le temps de l'homme ; tu
dois te dépêcher
Pour que ton capital ne puisse
disparaître,
Que le jour du Jugement tu retrouves
ton être
Honoré, glorifié.
Ne passes pas tes heures à chercher du
métal ;
La dernière demeure ne connaît nul
égal.
Tu vis, tu meures, revis, et espère le
régal
Tandis que les injustes seront certes
horrifiés
D'avoir ici-bas les signes et le
Seigneur défié.
Pour toi, te dépêcher est donc
priorité ;
Ne veux-tu pas demain les jardins
hériter ?
La pluie venant du ciel lave notre
souffrance ;
Le pardon du Seigneur est notre
délivrance.
Aussi, sous une averse, l'invocation
émise
Est certes exaucée ; la demande
acquise
Tu peux recommencer cherchant ce que tu
vises.
La dernière demeure est bien la plus
exquise ;
Ne l'atteindrons que ceux dont la
Miséricorde
S'ouvrira pour leur être de sa plus
belle porte.
Aussi, mes frères et sœurs, ce poème
exhorte
Aux plus belles actions avant que nous
emporte
La plus simple faction et que nos âmes
sortent
Pour retourner à Dieu par une noble
escorte...
Et alors pour nos âmes selon ce
qu'elles voulaient,
Les voilà vivifiées ou éternellement
mortes.
Malheur à ceux qui ont donc ici-bas
échoués,
Que le monde a trompé, qui n'ont fait
que jouer.
Nous demandons à Dieu la guidée et la
force
De L'adorer sans fin, de ne Lui faire
entorse.
De toute éternité, c'est Lui qu'il
faut louer ;
Que les meilleures paroles ne cesse de
couler
Vers Son Trône Immense.
Seigneur, pardonne-nous, offre-nous
récompense !
Quelques mots pour un "Grand" poème, merci.
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