Faut-il que nous cherchions encore des
preuves de l'amour du Seigneur,
Quand Il a tout créé pour
nous, qu'Il nous a soumis les délices ?
Suffit pour nos âmes l'islam, le
plaisir de la charité,
L'abstention, le retrait des vices,
Par folle perte hérités ;
Alors que le bon et le pur, elle avait
seulement mérité.
Qu'elle se contenta du meilleur eu pu
paraître une évidence.
Une naissance de notre enfant est le
plus grand moment de joie de notre courte existence.
La vraie vie est pourtant bien celle de
notre ultime résidence ;
S'Il veut, certes, avec aisance
Nous atteindrons l'éternité
Et jouirons post-souffrance de tous ces
jardins de plaisance.
Hormis le créateur, toute
créature n'est ainsi que vanité,
Qu'un moyen donc pour Le connaitre,
qu'un marchepied pour L'approcher.
Ô Seigneur fait dans nos cœurs
fort s'accrocher
L'amour du dernier des prophètes
et de l'ultime messager.
Lequel telle une miséricorde :
envoyé à l'humanité.
Nous ne sommes ici que passagers.
Ta miséricorde ci-bas laisse dès
lors présager
La rétribution de ceux et celles
qui envers toi sont engagés.
Pourtant, il nous faut encore faire la
preuve de notre amour sincère de l'autre.
Notre foi est très incomplète,
notre pratique morcelée ;
Et notre âme en nous recelée
N'est-elle pas un très grand
mystère,
Tout le potentiel nécessaire,
Le merveilleux capital à faire
fructifier sur Terre ?
Réussi qui l'a purifiée.
Le Saint, le Grand, le Tout-Puissant,
par nos actes il faut sanctifier.
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